jeudi 20 août 2009

From where you are - Lifehose

So far away from where you are
These miles have torn us worlds apart
And I miss you
Yeah, I miss you
So far away from where you are
Standing underneath the stars
And I wish you were here

I miss the years that were erased
I miss the way the sunshine would light up your face
I miss all the little things I never thought that they’d mean everything to me
Yeah, I miss you
And I wish you were here

I feel the beating of your heart
I see the shadows of your face
Just know that wherever you are
Yeah, I miss you
And I wish you were here

I miss the years that were erased
I miss the way the sunshine would light up your face
I miss all the little things
I never thought that they’d mean everything to me
Yeah, I miss you
And I wish you were here
So far away from where you are
These miles have torn us worlds apart
And I miss you
Yeah, I miss you
And I wish you were here

lundi 25 mai 2009

Pour toi

Une main posée sur mon bras, une simple caresse sur mon épaule; ma peau me brûle et mes lèvres crient.

J'ouvre les yeux, tu es près de moi. Si tu savais comme j'ai mal loin de toi, mon sourire t'appartient.
Je suis marquée, blessée, moi qui croyais ne plus pouvoir aimer. Un coeur de glace qui s'enflamme. ha ha. Est bien pris qui croyait prendre.

Je ne peux supporter le regard désapprobateur d'une famille si puissante, n'osant m'enfuir et tout laisser derrière, j'erre sans âme dans une vie qui ne m'appartient plus.

Je suis tourmentée, on ne peut plus se le cacher. Je ne pourrai plus jamais vivre normalement, et ne pourrai non plus offrir la normalité. L'idée de ne plus attendre tes messages, de penser que je ne te suffis plus, de ne plus sentir ton contact sur ma peau... à la seule et simple pensée de devoir vivre avec ton absence, mon coeur se tord, ma gorge se serre, des larmes envahissent mes yeux et un goût de désespoir m'emplit la bouche.

J'apprendrai peut-être à vivre avec cette douleur, du moins je l'espère. J'ai confiance, tu sauras en faire autant.

J'ai découvert un amant, un amoureux, mais par dessus tout un ami. Ces sentiments me poussent à m'en aller parce que je ne peux demeurer égoïste plus longtemps et risquer de gâcher ta vie. J'ai déjà fait trop de dommages et je ne peux me permettre de blesser encore plus la personne que j'aime vraiment.
Chaque respiration m'est aujourd'hui douloureuse, chaque clignement d'yeux me ramène ton souvenir.
Je regrette le jour où tu m'as ouvert ton coeur, car c'est à partir de ce moment que j'ai su que je finirais par te blesser.

Je me demande, peut-on vivre sans son reflet? Arrive-t-on à accepter ses erreurs? Mon coeur bat, mais je ne respire plus. Je vois, je sens, mais je ne vis plus.
Je tiens à toi tu sais, alors je te laisse partir.

jeudi 21 mai 2009

J'aurais aimé pouvoir te dire tout ce que je n'ai pu t'écrire. J'aurais voulu pouvoir t'écrire tout ce que je n'ai pu te dire.

Au lieu, j'ai fui... en silence.

Tu ne m'as pas reproché d'avoir fui, ni même tenter de me retenir. Non. Tu m'as critiqué d'avoir déserté sans bruit, sans geste, sans message mais surtout, sans parole.
Pourtant, dis-moi, que pouvais-je ajouter de plus?

Tu as souvent critiqué mon manque de disponibilité à ton égard. C'est vrai que je n'ai jamais voulu m'attacher, ça aurait servi à quoi? Tu as dit dès le début que nous deux ça ne serait probablement pas éternel. Suis-je masochiste au point de vouloir m'investir dans une relation à laquelle tu ne crois pas?
D'un autre côté, chacune de nos petites soirées me faisaient découvrir un nouveau côté de toi et chaque fois je tombais un peu plus. Ais-je été si cruelle de mettre une distance? Me le reproches-tu vraiment encore?

D'un commun accord nous somme devenus amis. Était-ce vraiment pour en arriver là?

jeudi 25 septembre 2008

Si seulement si

J'aurais aimé trouver le courage et les mots pour te dire que je t'aime sans t'effrayer et sans m'effondrer, mais tu ne t'es pas retourné.

Hier soir, après ton départ, j'ai marché longtemps au travers de mes pensées.
Je ne t'y ai pas trouvé. Tu as tout quitté.

Ça m'a fait tout drôle tu sais... le vide. Enfin.
J'avais besoin de solitude, mais tu ne me l'as jamais donnée. J'étouffais, chéri, je suffoquais et je ne pouvais pas respirer, constamment retenue.

J'ai paniqué. J'ai fuis et tu es parti. Était-ce vraiment que ça notre histoire?
Je n'arrive plus à me souvenir des baisers. Je ferme les yeux et ce n'est plus toi que je vois maintenant. Je suis seule. Il fait noir et tu sais, j'ai un peu peur du noir.

Tu es revenu. À bout de souffle d'avoir trop couru, pour moi. Tout ce chemin, pour moi.
Et je n'étais pas là. Alors, nos voix se sont séparées, déchirées.

Malgré les mots, les sourires, les étreintes, je ne t'ai pas cherché plus loin, et toi non plus.
Par contre, maintenant, nous savons. Si seulement si.... et nous serions nous.

samedi 20 septembre 2008

Promise me just one more night

Tu me sembles si loin tout d'un coup. La fenêtre filtre les rayons du soleil qui éclairent mon appartement où j'en viens à me demander qui je suis.
C'est si dur à porter parfois. Un gouffre s'est installé en moi. Je ne sais pas comment s'est arrivé. J'ai ouvert les yeux et il était là.

Je suis brisée. Pourquoi la branche tombe-t-elle si loin de l'arbre papa? Je suis prisonnière d'un sablier géant... chaque jour qui passe m'éloigne d'un grain de sable que je ne peux retenir.
Chaque fois, je regarde ma perte et me désole. Pourquoi toujours vouloir ce qu'on perd? Pourquoi ne pas se contenter de ce qu'on a?

Et moi, petite fille, dans cette immensité, qui suis-je? Et à chaque question je pense à toi. I wonder if you are thinking the same about me too.

Why is it so hard Lau? Why can't I let go?
Je te tends ma main. Pourquoi glisse-t-elle? Suis-je si bien dans ma paroi de verre que je ne veux en sortir?
Et tu ne m'embrasses pas.

Alors moi, je pense à toi. Et je m'ennuie. Ça me ronge et le gouffre grandit.
Je ne peux le traverser et je panique. Je ferme les yeux. Il ne faut qu'écouter le silence et respirer. Oui chéri, n'oublie pas de respirer.

Le calme revient, mais je ne suis plus moi. Mes yeux sont fermés. Je respire toujours. Pourtant, je ne suis plus là.

Le vent au loin souffle mes grains. Enfin, je peux voler, libre.
Soudain, tu es là. Univers parallèle où je suis si bien.
Le temps s'arrête, et j'ouvre les yeux. Plus rien ne bouge. Enfin.
J'ai si peur du vide. Voilà qu'il s'est installé en moi. Mais ici, plus rien ne compte, sauf toi.... et moi.
Je suis là, prends-moi. Que plus rien n'existe sauf toi. Please make me forget and then take me home. So I could be myself again.
And if you leave, don't look back.

21 février 2007

Je me demande...
Comment fait-on pour être heureux toute sa vie?
Le bonheur existe-t-il vraiment?

Bonheur... que sais-je au fond?
Décevoir ceux qu'on aime?
Sûrement

Tristement avancer. Loin, le plus loin possible
Longuement-sans bouger
Trépigner.

Impatience. Ralentir le souffle.
Se morfondre de désir.
Compassion

Dans le fond, subir. Accepter ses choix.
Faire le BON choix.
Ne pas se tromper.
Avoir peur. Reculer.
Effacer.
Recommencer.

Arriver. Fatigué. Essouflé.
Vieillir. Angoisser.
Regretter.
Trépasser.

mardi 19 février 2008

j'ai tellement de choses à te dire que je ne sais pas par où t'écrire. Je pense souvent à toi tu sais et je me demande souvent comment ça se fait qu'on en soit là. En fait, je me demande comment j'aurais pu faire les choses autrement, mais je repense à comment j'étais avant et je me dis que je n'aurais pas pu faire différemment.
je ne m'aimais pas moi-même, alors tu vois, je ne pouvais pas comprendre comment quelqu'un d'autre pouvait m'aimer. Et puis, j'ai toujours voulu t'impressionner, mais, comme je disais, je ne m'impressionnais pas moi-même...
Toujours est-il que par après, quand je me suis sentie mieux, j'ai eu peur que tu ne veuilles plus rien savoir de moi.. c'est ridicule, je sais... mais le temps a passé et je ne savais plus comment t'approcher.. j'ai l'impression qu'il y a avait un gouffre entre nous deux et que je ne serais pas assez intéressante.. mais bon..
Excuse-moi

mardi 20 novembre 2007

C'est lorsque les gens nous quitte qu'on se rend compte qu'ils nous manquent

Comment ais-je pu? Je suis perdue, petite lumière vacillante dans l'aurore naissante.
Chaque fois que tu pars, tu me manques. Chaque fois que tu reviens, j'ai hâte au départ... Jamais heureuse. Trop peureuse (ou trop heureuse) Mauvais jeu de mots. Fais-moi rire.
Rire pour oublier combien j'ai pu pleurer. Si difficile de vieillir, mais encore plus de rajeunir.
JB, mon amour, I will never be with you. Oublie-moi, impossible de m'aimer.
Je gronde tel le tonnerre et bientôt je déferlerai. Vraiment, oublie-moi. Je suis désespérante. Incapable de me décider, alors vraiment, comment puis-je t'aimer?
Voilà que je suis née d'un amour consumé. Étais-je voulue? je ne le saurai jamais. Je suis tellement mêlée que je crois que non. Rien n'est décidé, tu as encore le temps de me quitter.
Pars et vite, afin que mes pensées se vident.
Je ne suis pas celle que tu cherches. Je ne l'ai jamais été et ne le serai jamais. Va voir ailleurs. Je n'y serai pas. Je suis là où la mer commence et le ciel termine. Mélange de bleu, d'eau et d'air. Mouvement constant. Je ne serai jamais stable.
Je suis l'eau et le vent. Une vague sans fin, ballottée d'un horizon à l'autre je ne m'arrête jamais. Je m'échoue parfois sur un rivage, mais je repars peu de temps après.
Ne me cherche surtout pas. Je suis perdue. Comment pourras-tu me retrouver si je n'y arrive pas moi-même? Reste ici, trouve celle qu'il te faut. Demain, je partirai. Je ne peux t'offrir mon coeur, je ne l'ai plus. Comment reprendre ce qu'on nous a volé?
Alors, je te le dis, va voir plus loin, vers l'horizon où je ne serai plus. Trouve celle qui t'attend. Celle qui partagera ta vie. Je retourne vers l'eau puisque c'est là d'où je viens.

Je repars vers lui. Voudra-t-il seulement de moi? Lui et ses yeux couleur océan... d'un seul regard calme le torrent qui s'allume en moi. Je peux me reposer dans sa baie, le courant y est moins agité.
Toi, tes yeux couleur forêt, où j'aurais facilement pu prendre racine, ne fonctionnent plus. Le vent casse mes branches. Mon arbre ne tient pas. Ma fleur se brise sous ce souffle incessant.
J'ai besoin de l'eau pour me calmer, pour me cacher. La forêt est trop sombre, trop dense. L'eau est beaucoup plus claire et limpide; je peux voir et être vue, mais suis à l'abri du vent.

Je retourne à mes sources. Encore une fois, et ce, ô combien malgré moi, je ne peux te donner ce que tu attends. Pardonne-moi...

mardi 13 novembre 2007

ça m'en demande tellement pour te dire non

Peut-être que j'ai bien fait, peut-être que non.. qui sait? Seulement quand je suis près de toi j'oublie tout ce qui se passe autour de moi. Plus rien n'existe. Ça me fait tellement de bien. Et je voudrais t'offrir plus. Je veux t'en donner plus, mais c'est difficile d'accepter et ça m'en demande tellement pour te le refuser.
Je ne peux plus penser qu'à moi maintenant, je dois penser pour deux.
J'ai tant de difficulté à parler. Je garde souvent tout pour moi. J'ai mes raisons. Je sais que c'est difficile de me comprendre et je ne te demande pas non plus de le faire. Je fais pas exprès de faire des mystères. Je suis juste pas capable de dire des mots. Quand on me demande de parler de moi je bloque..ça ne m'est tellement pas arrivé souvent de me faire demander comment ça va et de me sentir vraiment écoutée.
C'est pas que je ne veuille pas rester près de toi, c'est plus que je ne peux pas. Maintenant, je dois penser à demain. J'haïs ça, mais j'ai comme pas le choix. C'est bizarre tu vois parce qu'avec toi normalement je ne pense qu'à la minute qui existe pas à celle d'avant ni même à celle d'après. Avec toi c'est le moment présent.. C'est tellement fucké.. Il y a des jours comme ça. C'est dommage que ça ait tombé sur ce soir.
mais t'inquiète pas je suis bien près de toi

vendredi 21 septembre 2007

Le vide?

Dis-moi pourquoi je ne te suffis pas. Pourquoi je pense constamment à toi...
je me demande sans cesse où tu es, avec qui tu es.

Rentreras-tu seul ce soir? M'appelleras-tu?
Dans quels bras soupireras-tu?
Penseras-tu à moi en fermant les yeux?

JE NE SAIS RIEN. J'attends.
Un jour, peut-être... Ou sera-t-il trop tard?
Je veux dire, j'ai des projets.. le temps file.
S'il est trop tard, vais-je le regretter?

Tu me manques... Le sais-tu seulement?
Quand tu partiras ce soir... TON ABSENCE ME TUE.

Just one night.. maybe

Dans tes yeux
In your eyes
Dis-moi que tout ira mieux

Prens-moi
Demain le ciel sera beau
Everything is going to be okay, right?

Promets-moi que tu y seras.
Tell me it will be fine
Demain, je me sentirai mieux

Caresse-moi. Juste pour ce soir
Parce que mon ciel est pluvieux
Parce que sans toi
Je ne serais plus là

Ne dis rien.
Regarde-moi. Non. Vraiment, regarde-moi.
Dans tes yeux, je vois.
Protège-moi. je le sais
Avec toi, demain, j'irai mieux.
Et cette nuit tu me diras
"Chérie ne pars pas.
Je t'aime tu sais. Reste avec moi."

Mais ce soir, le vent souffle
Je ne vois plus
Je suis perdue

Un brouillard m'entoure.
J'aspire...

Et je tombe. J'ai mal
Trop même
J'écrase. Le vent cesse

La pluie. Partout. L'eau.
Raz-de-marée.
Plus rien.
Ma peine, noyée.

Juste une joie liquide
Faux bonheur. Chaleur.
Amertume
J'ai mal. Encore
Beaucoup. Trop mal.

dimanche 19 août 2007

Si tu savais

Tu sais, le soir, seule, j'ai peur. Peur que tu ne reviennes plus, peur que la vie t'emmène avec elle.
Peur que le matin tu ne m'embrasses plus avant de partir. Rêves-tu à moi? Penses-tu à moi avant de t'endormir?

Tu sais, le soir, je pense... Je pense à demain. Est-ce que je voudrai encore de toi? Demain, penserais-je encore à toi avant de fermer les yeux?

Je ne suis jamais sûre de rien. Je doute constamment. Si je suis bien je me demande si je ne serais pas mieux ailleurs. Après tout, je suis qui, moi, dans tout ça ? Suis-je celle qui aime ou celle qui est aimée? et si je suis les deux, est-ce que j'aime plus ou si je suis aimée plus? Peu importe le cas, ça implique quoi?
Est-ce que je suis traître si je pense à être ailleurs parfois?
J'ai envie de savoir si je suis normale. Peut-on désirer et vouloir la même personne toute sa vie. Est-ce vraiment possible. Peut-on rester 50 ans avec quelqu'un sans jamais penser vouloir être ailleurs? Et si j'y pense parfois est-ce méchant, sadique?
Il y a des jours où je ne voudrais être qu'avec toi. Où ta seule présence me suffit.. mais d'autres où je ne peux rester près de toi.. des jours où j'ai envie de fuir tout ça, de me retrouver seule, d'être ailleurs. Des jours où tout est gris, où tout se ressemble, bref des jours comme aujourd'hui où je me demande ce que je fais ici près de toi. Où je me dis que la vie ne peut pas être comme ça. Où la vie devrait être beaucoup plus excitante. Où tout devrait éclater.. bref où elle devrait être comme à l'adolescence lorsque tout est blanc ou tout est noir, mais jamais gris.
Je m'ennuie de cette époque où la vie n'était que projets ambitieux, tout n'était que discussions... Maintenant, tous ces idéaux me semblent irréalisables, alors qu'il n'y a pas si longtemps tout me semblait encore possible. Maintenant, je marche sur des oeufs, je réfléchis avant chaque mot et chaque projet est mesuré avant d'être proposé. Il n'y a plus de grandes discussion, la vie n'est plus que démesure, plus rien n'est tout blanc, ni tout noir.. tout est gris.. Il n'y a plus de grandes envolées verbales, il n'y a plus d'ébauches pour sauver le monde. Chacun se case dans sa petite vie, on ne crée plus de vagues, on ne dérange plus. Pas parce qu'on ne peut pas, mais parce qu'on ne veut plus. On ne pense plus que pour soi, on pense pour deux ou pour trois. Alors on ternit et ainsi va la vie...

mardi 14 août 2007

maître et maîtresse

J'ai envie de TE parler. Mais je ne veux pas être entendue.
J'ai envie de voir, sans être vue.
J'ai envie de te dire, j'ai envie de t'écrire, mais je ne veux pas être lue.

Je suis contradictions. Je ne peux pas me l'enlever de l'esprit. Et encore moins quand je te vois, quand je pense à toi.. Je suis pulsions.
Avec toi je ris, parfois même je pleure. Mais avec toi je suis bien.

Quand tu m'appelles parce que tu t'ennuies, j'ai envie de courir vers toi. Une fois là, je regrette. Tu le sais pourquoi. Je ne peux pas faire ça.. Mais je continue de te parler, tu continues de m'appeler. Pourquoi?

Parce que je l'ai dit, tu me fais rire, je suis bien près de toi. Mais je ne veux pas que tu m'entendes, encore moins que tu me lises.
Tu pourrais peut-être trouver un chemin, une faille, un bris dans mon écorce.

Je suis sûre que tu le sais. Un coeur qui peut se briser, se déchirer, mais qui peut continuer de fonctionner.. trouver l'erreur.

Je joue avec le feu et j'aime ça. Toujours sur la corde raide. Mais j'ai le vertige.
J'ai peur du noir, je l'ai sûrement déjà dit, mais j'adore fermer mes yeux. Quand je ferme mes yeux, tout cesse d'exister... SAUF TOI.

lundi 6 août 2007

I said I'm sorry..

Please excuse me.. 'cause I've been gone for a while. I said I'm sorry - Would you take me back rigth now?

Can't image living my life without you.

Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je ne peux pas t'enlever de ma vie. Non ce n'est pas vrai. Je peux vivre sans toi, mais rien ne serait plus pareil. Tout serait noir. J'ai besoin de toi en quelque sorte. J'ai fait une niaiserie en te laissant partir.
Reviens, s'il-te-plait. Je m'ennuie loin de toi.